N'ayant pas les bonnes cartouches,
nous n'avons atteint ni les cibles, ni les objectifs.
En effet, beaucoup de bunkers
émaillaient ce terrain de jeu, sans doute en référence à la proximité du Mur de
l’Atlantique. Franchement, pourquoi rappeler de mauvais souvenirs, devenus des
soucis du quotidien du golfeur ? Limite sympa !
D'un autre côté, quand vous allez
passer 5 heures en voiture, autant séjourner un certain temps sur place. Ces
bunkers contribuent donc largement à prolonger les parties, échelonnées de 4h30
à plus de 5h. Donc, voyage amorti.
Si la balade avait duré 6h h, que
se serait-il passé ? L'avons-nous échappé belle ?
Cela explique qu'avec un tel temps
d'exposition au soleil landernéen -pourtant célèbre pour sa lune (voir Google),
nous avions le visage rougi. Rien à voir avec la confusion inspirée par la
lecture de nos cartes …
Habitués aux greens « tout
schuss » de St Jacques, nous avons oublié de desserrer le frein à main, ce
qui a conduit à multiplier les putts, souvent trop courts.
À
titre perso, je n'aurais pas fait pire avec un putter de gaucher, un râteau de
jardin ou …..une louche. Peut-être que …..? Juste pour voir.
Cela n'a pas empêché 18
participants de déborder d'allégresse n’en ayant fait autant à la barre des 36
points , ce qui fut loin d'être notre cas .
La proximité de la Mer d'Iroise
peut aussi faire penser à 3 matelots, em...barqués pour une croisière-pêche à
l'intérieur de 18 bouées.
Les hameçons devaient être un tantinet rouillés car nous avons beaucoup pêché. De retour au port, le pavillon EAGLE en berne, néanmoins contents d'avoir découvert un nouveau terrain de jeu , aucun de nous ne jouera le rôle de L'AMER d'IROISE même si la lenteur des greens nous aura em...poison..nés, finalement, nous concluons ce parcours finistérien à la 16ème place pour un bilan annuel un cran au-dessous soit 17ème.
Je n’oublierai pas de saluer les
bénévoles assidus, présents du matin au soir, que sont Nicole
et Jean Claude et de remercier GEB
qui nous a offert un pot pour clôturer cette année corpo.
René Le Goc